Le design est il simplement humain?
N’est il pas cosmétique au point d’interdire la vie nue. «Trop de spectacle tu le spectacle» P.A
L’homme contemporain refuserais t’il l’experience vrai pour préférer un contact moux?
La variabilité des formes qui parait être un signe de liberté est dans un certain sens un signe de dépendance.L’objet suceptible de guérir notre insatisfaction est unn poison.
Cette drogue nou entraine vers un recherche du «revival»,revenir a l’essance pour échaper à la confusion.Telle une quéte névrotique des origines,en cherchant les solutions propre aux design dans l’histoire même du design.
Le Design produit trop d’image pour pouvoir retrouver celle de la sociétée.Il agit comme un prismme qui décuplerais l’image de la sociéte en la déforment,comme un amplificateur de crise.
La démocratie n’est pas la rupture entre les individus mais l’accés à soi par les autes, politique culturel ou sportive être par la performance, comme c’est le cas dans l
’exemple du dragster.
Cette machine de vitesse creer pour etre performante garde les forme aquise par cette dérnière, mais de plus en plus la performance est accompagné de la forme comme outil de communication.L’objet est alors déssiné pour évoquer et communiquer cette performence qui est alors mis en scéne comme si l’objet est la réclame de l’objet ne faisait qu’un.
Ce phénoméne apparait clairement sur le dessin du vélo «Lotus» ou encore du «TGV».
Le principe: «d’être par la performance» glisse ici vers «être c’est être perçu» et ce principe on en conviendra n’est pas démocratique.
IL relégue le Design au deuxiéme rang, l’objet a une forme mais elle est tributaire et concéquance de la performance,
On peut citer en exemple le Dragster, les engins lunaires, ou les outils de professions en régle générale.
Le fonctionnalisme est souvent généré par l’innovation brute, celle qui n’a pas besoin de vendre sa propre performance par son image.
Le streamline est un courant du Design qui c’est développé en réaction a la crise de 1929.Le Design apparait comme une solution pour évincer la concurence et creer du désire, il rentre dans la stratégie de singularité des entreprises.En créent de la différence ils en arrive méme a creer une ésthétique des differences sociales.
Le design opérationnel génére des objets performants,envisagés en fonction des services que doit rendre l’objet, la forme n’est pas déssiné pour son expression propre mais pour améliorer des performances.
Le design cosmétique propose lui, des objets dit formaliste qui parfois au dépant de la fonction usent de la forme pour la forme, comme un emballage superflus.C’est un Design qui lutte pour la présérvation de la production, produire de la forme pour produire du neuf.
«Nous les athéniens savons concilier le goût du beau avec la simplicité»
La démocratie sera alors: La forme hors l’exés de la forme, une sorte de minimalisme ésthétique, une forme clairte évidente.
IL est alors difficile de penser envisagé la création contemporaine sur un modéle vieux de plus d’un milénaire.
L’offre du Design contemporain est un offre éclatée, euphorique, mouvante, «cosmétique».Une offre qui réléve du simulacre, de la parrure et du décor.
Intro/
Le Design embéllit la vulgarité du réelle, il ajoute une fonction signe à l'objet, une valeur suplémentaire, mais d'autre part il y figure un caractére élitiste. Consommer du design ce serait faire partis "des beaux esprits éclairés".
De plus le design a pour fin principale le productivisme et la création de profits. On peut égallement le percevoir comme "la joie et le beau partout".
Il semble que l'univers des objets est une fête, où les objets sont sans cesse transformés.
Le Design e réalité est il démocratique?
Il propose à tout a chacun un large panel de formes qu'il sera à même de choisir,tout en trahissant la démocratie en intensifiant le proposition désirables,le désire cruelle de la frustration.
L' Art et le Design sont des symboles de progrès et de modernisme.A l'heure oû le progrés et le modernisme sont contesté ils s'engage dans une stratégie de micropolitique.
Il y à t'il d'avantage qu'un Alibi renouvelé pour justifier la place de la création au sein de la société?
Paul Ardenne .
Né le 4 octobre 1956 dans une famille d'agriculteurs charentais (il exercera un temps la profession d'agriculteur), il étudie les Lettres, l'Histoire et la philosophie dans les facultés de Poitiers et de Toulouse, avant d'engager une thèse en Histoire de l'art avec Laurence Bertrand Dorléac à l'université Paris-I (La Création plastique contemporaine - Formes et contraintes). Il rencontre à Paris le futur curateur en art contemporain Ami Barak, ainsi que Catherine Millet, fondatrice-directrice d'art press, et José Alvarez, qui dirige les éditions du Regard, dont les positions esthétiques l'influenceront.
Commissaire d'exposition, grand spécialiste de l'esthétique,art vivant, architecture, art et politique.
Ces interrogations principales:
comment placer son corps au coeur du monde?Comment se donner à l'extremisme qui transcende la répétition de l'inertie au quotidien?
Il suggére que l'art l'architecture, la culture doit plus que nous épanouir,qu'ils doivent nous offrir une "corpopoétique" Soit une sensabilisation a la poétique du réelle. Il parle d'un art en constante mutation, en raisonance avec le réelle.
"L'art le plus intéressant? Celui toujours, qui ébranle ou brise nos certitude esthétique. Paul Ardenne
